Entrouvert ce ciel ! Tandis que la pluie ronge
Les tilleuls, tu demeures, à l'abri du sommeil.
Puisqu'un secret te sert et te prolonge,
Tu t'allonges, dans la paume irisée de la veille
Remonte sur toi le drap léger des images !
Il y a dans ce siècle des éclats trop bruyants,
Et d'étrange bassins versants où, volages,
Quelques nuages passent en sifflant…
mercredi 30 juillet 2008
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