Entrouvert ce ciel tandis que la pluie ronge
Les tilleuls tu demeures à l'abri du sommeil
Puisqu'un secret te sert et te prolonge
Tu t'allonges dans la paume irisée de la veille
Remonte sur toi le drap léger des images
Il y a dans ce siècle des éclats trop bruyants
Et d'étrange bassins versants où volages
Quelques nuages passent en sifflant
mercredi 30 juillet 2008
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