Je berce les nuages
Je leur raconte à voix basse des comptines
Je les entoure de mes mains chaudes
De mes yeux pleins de sommeil
Au milieu de l’après-midi
Quand la ville secrète s’est calmée
Autour des heures lentes à se décrocher
Je l’avoue
Je vous le dédie
Je berce les nuages
vendredi 27 mars 2009
jeudi 26 mars 2009
brisant leurs vertébres
Vers doux sur les mains, bagues nacrées
Le portrait est si éloquent
La nuit si présente, et les feuillages aussi qui murmurent
Ce que vous verrez aux cachés aux joueurs insouciants
Vers doux sur les mains
Ainsi commence le poème alors que s’estompent les journées
S’éteignant, les fenêtres disparaissent
Il nous reste
Ce portrait incompris de nous même
lundi 16 mars 2009
Naufragé du A - 2 - Ou plutôt...
Quand j'ai reçu j'ai pas compris, mais après j'ai vu qu'il fallait chercher l'erreur, et cela m'a bien amusé...
Merci Tom
Merci Tom
101 eme message
La vie tremble,
La vie tremble, pourtant engluée
Dans l'épaisseur des quais de gare
Des nuits bitumes et des métros bondés
Cette nuit tremble, ce soir est-il lié ?
Mille feux nous retiennent aux arbres noircis
Ils plongent leurs reins en se brisant les vertèbres
Décidant du peu qu'il leur reste à vivre
A chaque terreur
A chaque répons des cris aux pelages
A chaque galet chaque roulement
La vie tremble, pourtant engluée
Dans l'épaisseur des quais de gare
Des nuits bitumes et des métros bondés
Cette nuit tremble, ce soir est-il lié ?
Mille feux nous retiennent aux arbres noircis
Ils plongent leurs reins en se brisant les vertèbres
Décidant du peu qu'il leur reste à vivre
A chaque terreur
A chaque répons des cris aux pelages
A chaque galet chaque roulement
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