Vers doux sur les mains, bagues nacrées
Le portrait est si éloquent
La nuit si présente, et les feuillages aussi qui murmurent
Ce que vous verrez aux cachés aux joueurs insouciants
Vers doux sur les mains
Ainsi commence le poème alors que s’estompent les journées
S’éteignant, les fenêtres disparaissent
Il nous reste
Ce portrait incompris de nous même
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