vendredi 27 juin 2008

La tranquillité (1.0)

Roulez carrosse ô mes doigts perdus
La beauté est veinée de rouge
Les nuits en ville sont tristes
Les chemins sont ouverts et couchés sur le papier
Une belle forêt où l'on se perd est à portée de main,
Je vais toucher le cœur chaud, l'épaule calme
Sur ce versant, quelques lambeaux de brume se dispersent

Aucun commentaire: