samedi 28 juin 2008

La tranquillité (2.2)

Roulez carrosse ô mes doigts perdus

Cette beauté civile est veinée de rouge
Et pourtant en ville les nuits demeurent
Comme les chemins ouverts couchés sur le papier
Une forêt où je me perd encore à portée de main.

Je vais toucher le cœur chaud, l'épaule calme
Sur ce versant, quelques lambeaux, et la brume qui se disperse

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