Ce rêve encore frais, au matin, dans les brouillards.
Ce rêve aux poches vides, ce rêve aux souvenirs batailleurs
Cette nuit qui s'avance
Où il demeure et s'active
Ce secret sur nos visages, ce calcul mathématique irraisonné
La pluie et ses étincelles rougies
Ce rêve têtu comme la misère
Ce rêve qui me tient et sans lequel je ne serais déjà
Plus qu'un masque
Ce rêve tremblant de ne pas arriver à se croire
Ce rêve vous ne le réinventerez pas.
mercredi 17 décembre 2008
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