J'ai cherché le mot juste. J'avais le vers et je ne savais l'écrire
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.
Entends, ma chair, entends la douce Nuit qui marche.
Entendons-nous la différence ?
Savons nous où porter nos yeux ?
Et ces gestes dans le silence… Serait-ce la cadence de l'absolu … les flammes mangeant le ciel, les draps d'aube, les circulations infinies dans le cœur, couchées dans les lignes nettes du réel. La pluie douce des souvenirs acides, la peau nue du secret, les cicatrices inventées par la foudre et la colère.
Apaisé, excité, autrement, j'ai mis les possibles en errance.
mercredi 4 juin 2008
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1 commentaire:
Ma chair est tendre...
(sur) l'écorce des chênes...
ma chère et tendre...
les corps se déchainent...
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